“Il n’y a pas de lecture sans écriture, le web le fait encore plus resurgir, mais je pense que ça toujours été ça. Il n’y a pas de lecture sans appropriation et l’appropriation passe souvent par l’écriture. Il n’y a pas de lecture sans compréhension, sans qu’on fasse quelque chose des mots de l’autre, la manière dont on les pense, la manière dont on se les approprie. La lecture déclenche l’écriture, que ce soit de choses juste pour comprendre ce qu’on a lu, que ce soit pour aller plus loin, faire soi-même de la littérature, mais pour moi il n’y a pas de lecture sans écriture, les deux vont vraiment ensemble.”
en référence à : http://lafeuille.blog.lemonde.fr/2010/06/12/le-metalivre-le-livre-que-nous-reconstruisons/# (afficher sur Google Sidewiki)samedi 12 juin 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Les textes de ce blogue sont mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire