Est-ce qu’il vous arrive d’entendre ou de lire une information très pertinente en vous promettant sincèrement d’appliquer celle-ci; pour vous rendre compte quelques semaines plus tard que vous avez totalement oublié? Afin d’éviter ce problème, il est utile de prendre note des informations importantes que nous percevons. Ceci afin de permettre un rappel de celles-ci et ainsi faciliter leur intégration dans notre comportement.
Le plus important n’est pas de noter des informations pertinentes mais plutôt de les utiliser, c’est-à-dire de les intégrer autant que possible dans notre comportement. Afin d’atteindre cet objectif, il est utile de relire périodiquement ou au besoin les informations notées.
dimanche 14 mars 2010
Noter et utiliser
vendredi 26 février 2010
Veille anticipative stratégique : vers une gestion des connaissances tacites dans les PME-PMI ?
Le modèle de dispositif de veille proposé aux PME-PMI devrait :
- H1 : reposer sur une formalisation la plus simple et légère possible ;
- H2 : reposer essentiellement sur l’exploitation des sources informelles relationnelles ;
- H3 : reposer essentiellement sur l’exploitation des informations informelles ;
- H4 : éviter le stockage des informations (puisque celles-ci sont informelles et doivent le rester) ;
- H5 : éviter la formalisation de la connaissance mise en oeuvre pour interpréter les informations. Si l’on était tenté d’extraire de chaque individu les éléments de connaissance qu’il détient afin de les intégrer dans une base de connaissance ce serait « mission impossible ».
- H6 : S’il est un peu plus sophistiqué, le tableau, tenu sur ordinateur, peut permettre d’appeler immédiatement un membre de l’entreprise en cliquant sur son nom, et d’obtenir ainsi, parfois sur le champ, une information informelle ou de la connaissance sur tel sujet ou sur telle personne. Ainsi il est possible de gagner du temps lors des séances de travail collectif sur les informations de veille.
- H7 : Les interactions collectives devraient être stimulées même dans le cas où les réunions en « face à face » sont difficiles à organiser, compte tenu de la mobilité des personnes sur le terrain (régional, national, ou mondial). Pour cela serait recommandé l’usage de toute TIC appropriée (en commençant par celles déjà existantes dans l’entreprise) : conférence téléphonique (importance d’entendre la voix : ce qu’elle dit, comment elle le dit et ce qu’elle ne dit pas), messagerie complétée de Webcam (importance de pouvoir se voir et voir les mimiques), etc.
- H8 : La construction et le maintien à jour de cet outil de gestion, des informations informelles et de la connaissance tacite, devraient demander guère plus d’une demi journée de travail par semaine à la personne chargée de ce travail.
Le chercheur doit garder en tête les directives des dirigeants de PME-PMI que nous résumons ainsi :
- On n’a aucune envie de formaliser les informations de veille.
- On ne sait pas quelles sont les informations qui existent, mais on sait qui pourrait en détenir.
- On ne sait pas où sont ces informations, mais on sait accéder à qui est susceptible de les détenir.
- On ne sait pas interpréter, tout seul, une information susceptible d’avoir un caractère anticipatif, mais on connaît celui ou ceux qui pourraient nous éclairer.
- On ne peut pas se réunir fréquemment dans une salle pour travailler tous ensemble, mais on connaît le(s) moyen(s) de travailler collectivement ensemble (conférence téléphonique ou autre).
dimanche 14 février 2010
Comment prévoir une tendance ?
1° Vision du monde
* Lorsqu’une tendance acquiert le statut de système de valeurs, elle peut perdurer pendant quelques décennies.
* Lorsqu’une tendance n’acquiert pas le statut de système de valeurs, elle risque de s’effriter rapidement.
2° Les irritants d'une tendance
* Certains irritants d’une tendance feront en sorte que plusieurs personnes refuseront d’adhérer aux valeurs proposées par une tendance.
* Certains irritants d’une tendance feront en sorte que plusieurs personnes durciront ses mêmes irritants, et une sous-tendance « plus dure » naîtra de la tendance principale.
3° Les évidences silencieuses
Les évidences silencieuses sont composées de l’ensemble de tous les petits gestes anodins de désistement et d’ajustement envers les irritants d’une tendance que tous les membres d’une société effectuent.
4° La percolation
5° Prévoir une tendance
Il faut disposer de beaucoup de données pour y arriver.
samedi 13 février 2010
Processus de l’apprentissage
1° stimulation de l’apprenant ;
2° mobilisation des énergies motrices et motivatrices ;
3° application des connaissances ;
4° transfert.
En résumé, l’apprenant doit être stimulé pour apprendre. Il doit mobiliser ses efforts pour apprendre, il doit appliquer les connaissances apprises dans des tâches de travail insérées dans des situations de travail et il doit être en mesure de transférer ce qu’il a appris dans divers contextes pour être capable de faire face à des circonstances professionnelles courantes, nouvelles et imprévues.
Apprendre, réflexion
Brique de savoir dont la lecture régulière va me permettre d'accéder au même savoir (ou presque) ou du moins me permettre d'avoir une culture acceptable sur le sujet et être une introduction justement à ce savoir qui m'est inaccessible actuellement.
en référence à : http://www.blogitexpress.com/twitt/18015/62567 (afficher sur Google Sidewiki)Pourquoi va-t-on en formation ?
On ne suit pas une formation uniquement pour acquérir des connaissances mais aussi parfois pour le point de vue développé par le formateur et aussi par le dispositif mis en place par ce dernier.
en référence à :"Sauf que, on ne suit pas une formation uniquement pour acquérir des connaissances mais aussi parfois pour le point de vue développé par le formateur et aussi par le dispositif mis en place par ce dernier."
- http://www.blogitexpress.com/twitt/18015/62324 (afficher sur Google Sidewiki)
Une approche centrée sur l'apprenant
Apprendre... et non "former"
Au lieu de dire "former", disons plutôt "apprendre". Renverser la vapeur : que l'apprentissage soit vécu non comme quelque chose que l'on subit, mais plutôt comme une action constante et soutenue où l'apprenant construit lui-même le sens de ce qu'il apprend.
A l'écoute de l'apprenant
La technologie au service de l'apprenant
Œuvrer pour l'autonomie
Apprentissage et auto-évaluation